En bref… Les véhicules électriques sans permis ne sont pas aussi répandus sur le marché de l’automobile, mais cela pourrait changer dans les années à venir. Les voitures électriques sans permis peuvent rouler jusqu’à 45 km/h et sont équipées d’une seule plaque d’immatriculation à l’arrière du véhicule. Dans certains modèles, vous pouvez conduire jusqu’à l’âge de 14 ans lorsque le véhicule est classé comme un quadricycle léger.
Quelles sont les principales différences entre une voiture sans permis et une voiture avec permis ?
Même si les voitures sans permis ressemblent de plus en plus aux véhicules urbains, il existe des distinctions importantes entre les véhicules avec permis et ceux sans permis.
Tout d’abord, une voiture sans permis ne peut pas rouler à plus de 45 km/heure. En outre, une voiture sans permis ne peut être immatriculée qu’avec une seule plaque d’immatriculation située à l’arrière de la voiture. En outre, il est interdit à un véhicule qui n’a pas d’autorisation de circuler sur les voies rapides et les autoroutes.
Qui peut conduire une voiture sans autorisation ?
L’âge auquel vous êtes en mesure de conduire une voiture sans permis dépend du type de véhicule que vous souhaitez conduire. L’idée d’une voiture sans permis comprend deux types de voitures : les quadricycles lourds ainsi que les quadricycles légers. Ces deux catégories de véhicules ne sont pas les mêmes en termes de caractéristiques et de limitations.
La conduite d’un quadricycle léger est possible à partir de l’âge de 14 ans. Le jeune conducteur doit être capable de passer une formation formelle. Cette formation est sanctionnée par l’ASSR 1 ou l’ASSR 2 ou l’ASR. Pour conduire un quadricycle léger, il n’est pas nécessaire de passer l’examen du code de la route. Mais ces certificats permettent de vérifier que le conducteur a l’expérience nécessaire pour conduire en toute sécurité.
Parallèlement à ce cours, les conducteurs doivent suivre une formation de 8 heures dans une auto-école ou un centre reconnu. Ils se verront ensuite délivrer un certificat officiel de leur formation qui leur permet de conduire des cyclomoteurs et des quadricycles légers ainsi que des “voiturettes”. Ils se verront ensuite délivrer un permis de conduire comportant la classe “AM” (anciennement BSR).
Pour un quadricycle de poids important, il est nécessaire d’avoir un permis B1. Ce permis est accessible à tous les conducteurs âgés de plus de 16 ans. Il est nécessaire de passer un test écrit et une formation d’un niveau supérieur à celui du permis “AM”.
Quelles sont les voitures électriques sans permis disponibles sur le marché ?
Il n’existe qu’une poignée de véhicules électriques qui ne nécessitent pas de permis à l’heure actuelle. Le coût de l’une de ces voitures est assez élevé, mais avec la démocratisation accrue de ce type de véhicule, le prix finira par baisser.
La Citroën Ami One est un véhicule spécialement conçu pour un usage urbain avec 75 kilomètres d’autonomie. Il est rechargeable en moins de trois heures sur une prise domestique. Il sera sur le marché à partir de mars 2020. C’est le modèle le moins cher disponible au prix de 990 euros.
Le Renault Twizy E-Tech est considéré comme une excellente combinaison des deux. Il s’agit d’un scooter et d’une voiture. Il peut parcourir une centaine de kilomètres. C’est le modèle le plus compact disponible sur le marché, ce qui le rend facile à garer. C’est aussi le véhicule électrique le plus simple à recharger. Son coût est plus élevé que celui de la Citroën Ami One et s’élève au minimum à 10 000 euros.
Estrima Biro : L’Estrima Biro est un modèle qui est similaire à la Renault Twizy E-Tech. Il est également proposé à un prix minimum de 10 000 euros. Sa particularité est qu’il est livré avec deux batteries. La première batterie a une autonomie de 100 km et l’autre a une autonomie de 55 km.
L’Aixam e-City offre une autonomie de 75 km. Son prix est de 13 899 euros minimum. L’une des particularités de ce modèle est qu’il nécessite l’obtention d’un code de la route pour pouvoir le conduire.
Quelle assurance faut-il pour les véhicules électriques sans permis ?
La formule la plus complète est une assurance véhicule tous risques qui comprend la garantie dommages-ouvrage à 100 %.
Si vous choisissez de souscrire une assurance par l’intermédiaire d’un tiers, vous pouvez bénéficier des garanties suivantes
– Bris de glace : cette option couvre la réparation ou le remplacement des vitres (avant, arrière et latérales).
— Garantie collision: elle indemnise les dommages causés au véhicule. Elle le protège des collisions avec des obstacles tels qu’un animal ou un véhicule, qu’il s’agisse d’un accident aux conséquences graves ou d’une collision mineure.
— L’assurance protection du conducteur Cette assurance couvre tous les frais médicaux en cas d’accident.
– Assurance contre le vol La compagnie d’assurance remboursera le coût de la voiture, à condition qu’une plainte soit déposée. La notification du sinistre à la compagnie d’assurance doit être déposée dans les 48 heures suivant l’incident. Votre assureur ne peut pas vous indemniser s’il détermine que vous n’avez pas pris les mesures nécessaires pour empêcher le vol. Les vols impliquant le piratage d’un ordinateur (ou d’une souris) ainsi que les vols sans effraction ont augmenté car de plus en plus de compagnies d’assurance ont modifié les clauses relatives au vol dans leurs contrats pour y intégrer cette possibilité.
– Couverture contre les explosions et les incendies: c’est la même chose : la voiture sera remboursée lorsqu’un de ces incidents se produit. Les seules exceptions à l’indemnisation sont les incendies qui sont causés par l’assuré, qu’il soit fautif ou qu’il s’agisse d’une inattention de sa part.
— Aide juridique L’aide juridique : Comme son nom l’indique, elle fournit une assistance en cas de litige avec une partie extérieure. Elle permet d’être représenté dans deux cas :
Vous engagez un recours contre un tiers (par exemple, votre voisin) Il s’agit de demander réparation du préjudice que vous avez subi.
Vous vous défendez contre un tiers : vous devez démontrer que vous n’êtes pas le responsable de l’acte illicite que l’accusateur invoque.
L’assurance couvrira les frais de justice qui découlent de la procédure. Cela comprend les honoraires d’avocats, les frais d’expertise et les constats d’huissier ainsi que les frais de justice. Au-delà, vous aurez besoin de conseils juridiques.